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À TRAVERS LA ROUMANIE


À TRAVERS LA ROUMANIE

Dans une période dans laquelle toutes les agences de voyages abondent en offre de voyages à l'étranger, nous proposons une alternative à passer votre congé: la Roumanie. Même si en Roumanie le tourisme n'est pas suffisamment développé, toutefois, on estime que la Roumanie mérite d'être vue. Nous présentons ici l'histoire des deux endroits et des attractions touristiques du pays.

Avant de commencer notre voyage à travers Roumanie on fera une courte caractérisation de ce pays. La Roumanie est située dans une région de transition, aussi bien vers l’Est que vers le Sud, à la limite entre l’Europe péninsulaire et continentale, ressentant de ce fait les influences physico-géographiques des deux grands compartiments du continent. Le parallèle de 45° passe à travers le Sud du pays (au Sud du Delta du Danube, au Nord des villes de Ploiesti et de Targu Jiu et par la commune Ciclova Romana du département de Caras-Severin), et le méridien de 25° longitude Est le parcourt par le milieu (Avramesti, Fagaras, Rosiori de Vede, Traian).



Les points extrêmes de la Roumanie se trouvent dans les localités de Horodistea (village du département de Botosani) dans le Nord (48°15'06”), de Zimnicea (ville dans le département de

Teleorman) dans le Sud (43°37'07”), de Sulina (ville dans le département de Tulcea) dans l’Est (29°4l’24”) et de Beba Veche (commune dans le département de Timis) dans l’Ouest (20°15'44”). Les distances à peu près égales (2 700 - 2 800 km) jusqu’à l’Océan Atlantique, l’Océan Arctique et aux Monts Ourals expliquent l’influence à peu près égale que ceux-ci exercent sur la Roumanie, tandis que la mer Méditerranée, située à seulement 1 050 km, influence son climat en moindre mesure.

Les Monts Carpates occupent une position centrale, conférant à la Roumanie le caractère de pays carpatique, tandis que le Danube et la mer Noir en font un pays danubien et pontique. La distribution proportionnelle des unités de relief (31% de montagnes, 36% de collines et de plateaux, 33% de plaines), leur agencement concentrique, en marches de plus hautes en plus basses, en commençant par les montagnes et en terminant par les plaines, donnent à l’ensemble du territoire un caractère de bastion, ayant au centre le Plateau intracarpatique de Transylvanie, entouré des Carpates, autour desquelles se déploient symétriquement les collines, les plateaux et les plaines, tout cela constituant une unité-géographique d’une personnalité bien définie.

Du point de vue biogéographique, la Roumanie se trouve sous l’influence de trois grands domaines: L’Europe centrale, avec la forêt, l’Europe orientale, avec la steppe et l’Europe méditerranéenne, avec ses caractères de zone plus chaude. La couronne orographique, avec le relief distribué en marches concentriques, a permis la formation d’une aire biogéographique propre (la province dacique) où l’on trouve de nombreux endémismes qui en attestent l’ancienneté et l’originalité. Un élément supplémentaire est fourni par la présence d’un riche milieu aquatique, marin et d’eau douce, avec un fonds biologique à part.

La végétation de la Roumanie est formée d’éléments très divers comptant environ 3 400 espèces, soit 35% de la flore du continent. Parmi celles-ci, 4% sont endémiques, étant répandues seulement dans les Carpates, le Plateau intracarpatique de la Transylvanie et la Dobroudja. La faune des forêts, tout comme la végétation, présente les influences du domaine central européen. La faune de steppe appartient au domaine est-européen, tandis qu’au domaine méridional se rattachent les animaux qui aiment la chaleur (la vipère à cornes, le scorpion, la tortue, etc.)

La mer Noire a une superficie de 413 488 km2, sans la mer d’Azov, laquelle constitue elle-même une golfe d’une superficie de 38 000 km2. La mer Noire présente des aspects particuliers non seulement du point de vue hydrologique, mais aussi chimique et biologique, qui diffèrent beaucoup des caractères ordinaires des autres mers et océans. Ainsi, par exemple, la salinité est plus grande à mi-profondeur et au fond (20-22‰) qu’à la surface (17-18‰), ce qui est dû au fait qu’en l’absence de courants verticaux, des échanges ne peuvent pas se produire entre les masses d’eau à densité plus grande du fond de la mer et celles de surface. L’ichtyofaune de la mer comprend quelque 140 espèces dont 110 sont connues sur la rive roumaine. Les poissons migrateurs de la mer Noire sont le chinchard, la pélamide, le hareng bleu, le hareng blanc qui migre dans le Danube ou le lac de Razim pour se réproduire, le muge, l’esturgeon, l’huiron, la sardine. Caractéristique pour la mer Noire est la présence du dauphin.

La diversité des formes de relief, les vallées et les dépressions intramontanes ou intracollinaires, les forêts et les plaines ont assuré la continuité des activités et des préoccupations économiques et offert des refuges au besoin, des positions de défense ou des postes des surveillance. Les faits témoignent que, quels que fussent les endroits où l’on cherchait momentanément abri, la genèse du peuple roumain est indissolublement liée à tout l’édifice carpatique, danubien et pontique. Aucune autre citadelle naturelle que les Carpates, avec sa vaste dépression centrale, ses remparts subcarpatiques périphériques et ses vastes zones basses de l’extérieur n’aurait pu fournir une zone si propice pour l’affirmation d’un État centralisé au coeur de l’Europe, qu’il s’agisse de la Dacie, de la Dacie Félix des Roumains ou de la Roumanie d’aujourd’hui.

Du point de vue religieux, la Roumanie est un pays chrétien – orthodoxe. Les certitudes fondamentales des orthodoxes sont:

  • Dieu est devenu Homme pour que l'homme devienne Dieu en lui.
  • Au mystère de la Trinité s'accorde le mystère de la vocation humaine.
  • Le cœur de l'homme aspire à l'union à Dieu.

C’est pourquoi qu’on y trouve des fêtes spécifiques comme:

Fête du Printemps

Ce jour-là les roumains fêtent avec joie le premier jour du printemps qui vient chasser l'hiver. C'est par des fleurs et par des 'cadeaux de mars' que les gens manifestent leur bonheur. Un 'martisor' (diminutif de 'martie -mars') est une fine ganse formée de deux fils tressés, l'un blanc et l'autre rouge, auxquels on
attache une petite figurine en bois ou en métal (un coeur, une lettre, une fleur, un ramonneur, un fer a cheval, ou un trèfle à quatre feuilles), qui joue le rôle de porte-bonheur. On porte le ' cadeau de mars ' attache au revers des vestons ou noués au poignet. On les offre d'habitude des ' cadeaux de mars ' aux femmes, (et aux hommes en Bucovina et souvent au nord de la Moldavie) et des fleurs de printemps (des perce-neiges et des violettes) avec des voeux d'avoir un beau et ensoleille printemps!

Les Paques roumaines

En attendant les Paques, la plus grande fete orthodoxe roumaine, les Roumains préparent minutieusement pendant sept semaines leurs ames pour recevoir le mieux possible la nouvelle des Paques: 'Jesus a ressuscité!' de nouveau pour éffacer les péchés des chrétiens. Les Roumains orthodoxes font le carême (manger seulement des plats végétariens) pendant 40 jours avant cette fête. La dernière semaine, 'la Grande Semaine', est la plus importante. Ils vont a l'église chaque nuit, où ils écoutent les 'vepres pascales'. Le Grand Vendredi, les fidèles adorent une installation qui symbôlise le tombeau de Jésus, en lui apportant des fleurs, des oeufs ou du blé, des germes. le lendemain, le Grand samedi, les prêtres et les fidèles célèbrent à minuit l'Office de Résurrection du Christ,qui marque le début de la fête de Paques et qui sera repris les trois jours suivants. Vers cet Office les fidèles apportent des bougies allumées. Une autre pratique qui se maintient encore c'est d'aller au cimetière avec ces bougies allumées, pour apporter a ceux qui sont morts la nouvelle de la résurrection, de sorte qu'aprés minuit, les tombes de chaque cimetière sont éclairées par ces petites bougies. Pendant la Grande Semaine, les femmes finissent le ménage de leurs maisons et de leurs cours, achètent des vêtement nouveaux qui seront habillés le dimanche de Paques et commencent a préparer le menu traditionnel. En premier lieu elles font orner des oeufs, qui sont un élément indispensable pour la commémoration de Jésus Christ et qui sont devenus le symbole de la résurrection de Jésus, qui s'est levé de son tombeau comme un oisillon éclos. Les femmes peignent les oeufs en rouge ou, le plus souvent, les ornent de plusieurs couleurs, de motifs floraux ou religieux, en faisant appel le plus souvent a tout leur talent pour bien les orner.C'est leur invention et leur imagination qui décident du choix des motifs décoratifs des oeufs. Elles préparent aussi le 'cozonac' (sorte de brioche, mais beaucoup meilleure!) et aussi la 'pasca', qui est un gateaux spécial pour les Paques (mélange de cozonac et de fromage de vache), et qui doit avoir une croix tressée dans la pate. Les autres plats traditionnels, comme le 'bors'(le potage aigre), les 'sarmale', le roti d'agneau, ou le 'drob' (plat d'abats d'agneau mélangés à l'oignon vert et au fenouil) ne manquent pas au déjeuner de fête du dimanche de Paques, qui devrait réunir autour de la table tous les membres d'une famille.

L'arrosage. Au premier jour de Paques, dans de nombreuses localités de Transylvanie les jeunes hommes rendent visite a toutes les filles qui ne sont pas mariées et les arrosent avec de l'eau ou du parfum. A la campagne la malice des garcons les pousse jusqu'à verser un seau d'eau sur la tête des filles malchanceuses qui se promènent dans les rues! Dans les villes on préfère quand même le parfum, et, en arrosant les filles, les garcons prononcent une sorte de poésie ou ils disent qu'ils sont venus arroser la fleur de la famille visitée pour qu'elle pousse belle et grande!

Ignatul (le 20 décembre on tue le cochon pour les fêtes à venir) Une grande effervescence règne dans les campagnes roumaines, le 20 décembre. C’est l’ « ignatul », le jour où on tue le cochon, en prévision des fêtes à venir et de l’hiver. La famille, les tantes, les cousins, les voisins, les amis sont mobilisés sous la direction d’un « homme de l’art », venu avec tous ses instruments et que l’on paye. Dès l’aube, pour pouvoir terminer avant la nuit, vite arrivée à cette époque, les femmes chauffent l’eau, apprêtent les ustensiles, alors que les hommes s’organisent pour tuer l’animal après avoir avalé une « tsuica fiarta » (tsuica brûlante). Auparavant, la tradition veut que l’on installe le dernier-né sur le cochon pour qu’il grandisse « gras si sanatos » (gras et en bonne santé) s’il s’agit d’un garçon, « grasa si frumoasa » (grasse et jolie) pour les filles . suivant les canons de beauté autrefois en vigueur. Toutes ces pratiques se réfèrent indistinctement au rites aussi bien dacs, grec, celtes, perses, plus païens que religieux, et visent à honorer tous ceux qui participent à l’événement. Commencent alors le dépeçage et les préparations. Les femmes lavent les intestins, la viande est passée au hachoir pour faire les « carnati », ces saucisses que les Roumains apprécient lorsque leur goût est remonté avec de l’ail et du paprika, trouvant les nôtres fades. Avec les abats on confectionne les « caltabosi », et avec le sang, les « sangerete », boudins. Plusieurs de ces metsseront enfumés, pendant plusieurs jours, au-dessus d’un feu de bois. Les hommes préparent le lard. Du sel est mis sur les gros morceaux de viande pour les conserver, à moins qu’on ne les fasse frire dans la graisse . ou qu’on ne les installe directement dans le congélateur. Pas une goutte de graisse n’est perdue. Elle est versée dans de grands bocaux et remplacera l’huile pour les fritures à venir.

La vessie est bien lavée, gonflée et donnée aux enfants pour jouer au ballon. Pendant toute la journée, on se partage les « soric », peau croustillante que l’on a fait frire et que l’on déguste avec de la tsuica. En fin d’après-midi, pour remercier tous ceux qui sont venus prêter la main, la « gospodina » (maitresse de maison), a préparé, avec ses aides, la « pomana porcului », repas funéraire du porc, la « pomana » étant le repas servi à l’issue d’un enterrement et les morceaux de brioche distribués aux pauvres à cette occasion.

Sur la table, dans une chaude ambiance, entretenue par l’eau de vie et le vin rouge, a pris place une énorme mamaliga, polenta à base de farine de maïs, accompagnée de viandes frites et de « muraturi », cornichons aigres-doux et poivrons rouges marinés. A l’issue de la journée, ceux qui ont encore quelque énergie aideront à ranger, le nettoyage se poursuivant souvent le lendemain.

La cuisine roumaine est un nom qui porte le résultat de la sintetisations, des goûts et des habitudes gastronomiques spécifiques peuple roumain. Cuisine roumaine comprend des plats tels de tous les jours de vacances et des préparatifs. Roumain alimentaire sont à la fois composé de légumes, céréales, huiles végétales, lait, produits laitiers et viandes et subproduse. Par l’intersection des cultures la cuisine roumaine a été influencée par la cuisine des Balkans, allemand, italien et hongrois.

La cuisine de Moldavie se caractérise par le goût fine et raffinée. La préparation de la nourriture est basée en particulier sur la viande de volaille et le poisson, mais de viande de porc, vache, du gibier et de légumes, de lait et les œufs aussi.

La cuisine de Valachi peut etre caractérisée par la diversité et l’ingeniosité. Elle a subi le long des anuées l’ influence grecque, orientale, la finesse de la cuisine française et le de la cuisine italienne. La cuisine de Valachie, fait appel à un assortiment varié de légumes, produits à base de viande, de poisson, de lait, des fruits.

Dans la cuisine d’Oltenie on utilise des légumes frais, poisson, la viande de volaille, de porc et de vache. Quand on parle de la cuisine d’Oltenie, nous pouvons parler de la préparation spécifique de ce region: ciulama avec polenta et poulet, tomates farcies de viande ou avec du riz, tochitura d’Oltenie, de la saumure et bien sur les plus remomées saucisons d’Oltenie.

La cuisine de Transilivanie subi le long de l'histoire l’ influence de la cuisine autrichienne - hongrois. En Transylvanie on utilise beaucoup le lard fumé, bien préparé, qui est consommé toute l'année, même en été, ou elle est utilisé dans la préparation de divers aliments. Les nouritures obtenus dans la cuisine de la Transylvanie, sont des aliments graisse, goûteux et poivrés, faite sur la basés de viande de porc. On utilise aussi, les légumes, le lait et des œufs aussi .

La cuisine en Dobrodjea est influencée principalement par la faune, le climat, mais aussi de la cuisine orientale. La préparation de la nourriture utilisé beaucoup de poissons, du gibier et de moutons, mais aussi la viande de volaille, de vache et de cochon. Dobrodjea est riche en légumes et en fruits, en lait, fromage et œufs.

Nous allons commencer notre voyage avec la ville de Constanta qui est située sur les rives occidentales de la mer Noire . Elle est la plus grand port de la Roumanie et une grande ville (la seconde après Bucarest pour le nombre d'habitants). Il est le chef-lieu du département de Constanta et de la région de Dobroudja et en elle avait une population de 348 000 habitants, mais l'agglomération dépasse 400 000 habitants avec les communes limitrophes. Pendant l'été, la population s’ est triple. Le nom de Constantiana lui a été donné par l'empereur romain Constantin 1er à la place du nom grec ancien: Tomis qui signifie en grec « tranché ». Sur les portulans génois du XIVe siècle elle apparait sous le double nom de « Constanza » ou « Tomi » et sous la domination ottomane, la ville est redevenue un village nommé Küstence (Küstendjé). Depuis qu'elle est roumaine ( ) elle se nomme Constanta.

Un voyage dans la ville de Constanta est un travail qui peut faire une strop 'rien' dans votre congé de beaucoup de soleil et de agitation Mamaïa. En ce sens, vous pouvez aller en bus superpesés - novateurs, bon marché et pratique. Et les endroits que nous recommandons sont les suivantes:

Le Casino La Mer Noire

Le Musée des Sciences Naturalles de Constanta, qui comprend Delfinariul, Planétarium, Observatoire astronomique, Microrezervation et exposition d'oiseaux exotiques. Tous, à l'exception de l'Aquarium, qui est situé sur Faleza Constanta dans le domaine sont situés au même endroit - Delfinariu à Constanta, dans le parc, un lieu plein de verdure, lieux et des bancs pour les enfants. Delfinariul est le plus célèbre d'entre eux par ce delfinului Mark, qui offre des spectacles tous les jours. La microrezervation offre une occasion de fermer vedrea chevreuils et cerfs, des chevaux et des ponei, lapins, mufloni, pélicans, pauni, cygnes, les renards.

La Place Ovidiu est située au centre de la ville ancien et ici vous pouvez visiter le Musée de d'Histoire et l'édifice romain avec Mosaic. Au milieu se trouve la statue d un célèbre poète roumain Ovidiu. La Mosquée Mahmud II (Mosquée Carol I) situé à 50 mètres de la place Ovidiu est le principal édifice religieux musulmans en Roumanie et également l’un des plus importants monuments architecturaux Constanta. Le batiment a été constuit entre 1910 et 1913 par l'Etat roumain, l'initiative du roi Carol I, raison pour laquelle il a reçu le nom du roi, devenant ainsi la mosquée 'Carol' ou la mosquée Royale. Le Casino situé sur la falaise de Constanta est l'un des principaux points d'attraction touristique à Costanta. Un grandiose couleur blanche, un lieu plein de légendes et de mythes.
  Le Tomis port est situé près de Casino, c’est un port touristique orné d’ une fontaine dont artezile jet d'eau très élevé surgit directement de la mer. Peut être admiré de bateaux différents de bateaux à panze à iacht sites dernière génération. Il est un excellent endroit et le repas servi sur la falaise de port est un restaurant avec une terrasse.
Vous y pouvez trouver beaucoup de synagogues, parce que il y a la plus grande communauté turque. En plus ici vivre grecs, tatars, aromani. La plus connue d'entre eux est Gheorghe Hagi, “Le Roi roumain de football”.

Mais ce qui attire les touristes dans ce lieu est Mamaïa, actuellement la plus belle station sur la côte roumaine. Mamaïa est la plus grande et la plus fameuse station littorale roumaine. Cette station est très étendue (jusqu'à 8 km en longueur) et possède une belle promenade marine. La saison de plage dure du début juin jusqu'à la fin de septembre. La température moyenne en air en haute saison est de 24 °C. Les plus chaudes journées sont toujours accompagnées d'une brise agréable.

Le Museum Sciences Naturalles

La mer y est d'une salinité convenable pour l'organisme humain - 17g/l (deux fois moins élevée que la Mediterranée ou l'Atlantique) - n'irritant pas les yeux. La température moyenne de l'eau en saison : 21° à 23°C. L'absence des marées et des grandes vagues près du rivage, ainsi que la pente douce du fond de mer, éliminent les risques d'accident pour les enfants et ceux qui ne savent pas nager. En plus, il n'y a ni requins, ni courants marins.

Les plages sont constituées uniquement de sable fin ou moyen, elles ont une largeur considérable. D'une manière générale, il n'y a pas de rochers sous marins. La station possède une excellente base nautique, des nombreuses hôtels (allant de 2** jusqu'à 5*****), bars, restaurants, discotheques etc.

On peut sortie en bateau jusqu’ 'L’ile d’Ovidiu', où ils disent qu'ils sont en exil du poète tombe. L'ile offre des possibilités de logement et dispose d'un restaurant avec la pêche spécifique est l'endroit idéal pour passer le temps libre.

Après le départ de Constanta est sage de se rendre à Tulcea. Il est la porte d'entrée du Delta du Danube. C'est un point de passage obligatoire entre les pays situés le long du Danube et ceux de la Mer Noire. Le delta du Danube est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Il est le chef-lieu du département de Tulcea. Il compte 91 875 habitants. La ville est la porte d'entrée du Delta du Danube. C'est un point de passage obligatoire entre les pays situés le long du Danube et ceux de la Mer Noire. Il a ete fondée au VIIIe siècle av. J.-C. sous le nom d'Aegyssos, elle est mentionnée par Diodore de Sicile et Ovide qui précise dans ex Ponto que son nom lui vient de son fondateur, un Dace appellé Carpyus Aegyssus.

Au Ier siècle, Aegyssos a été conquise par les Romains, qui y établirent une base pour leur flotte défendant la frontière du nord-est de l'Empire, le renforçant par des murs de défense et de grandes tours (dont les ruines sont encore visibles).Tulcea reste ensuite sous le contrôle de l'Empire romain d'orient ou Empire byzantin (VIIIe et IXe siècles), mais avec trois interruptions (conquête bulgare au IXème siècle, russe au Xème et tatare au XIIIème) et abrite à partir de 1315 un comptoir de la République de Gênes (Xe - XIIIe siècle). Elle fait ensuite partie du despotat de Dobrogée, et, peu après passe fief du prince valaque Mircea cel Batran. Les archéologues discutent toujours pour savoir si Vicina, capitale d'une politie (marche autonome) valaque au XIVe siècle, dont l'archevêque Hyacinthe fut le premier métropolite de Valachie, correspond aux ruines médiévales qu'on trouve sous Tulcea, ou bien à celles d'Isaccea ou des autres de la zone.

En 1416, la ville a été conquise par l'Empire ottoman, et reste ottomane jusqu'en lorsqu'elle est attribuée à la Roumanie lors du partage de la Dobrogée. Autour de , Tulcea était toujours une petite ville dont l'activité était les chantiers navals. Le statut de ville lui fut accordé en , quand elle est devenue une capitale de province.

Les principales attractions touristiques sont:

L’institut de recherche Eco-Muzeale des industries diverses (ICEM), Le Musée des sciences naturelles 'Le Delta du Danube' , Musée de l'Art, Musée ethnographique et l'art populaire (MEAP), Musée de l'Histoire et archéologie

Cathédrale Saint-Nicolas, Mosquée Azizie, Synagogue, Saint George's Church 'Horloge', Cimetière hébreu

Parmi les personnes célèbres qui y sont nés ici on peut appellé:

Grigore Moisil-mathematician, Tora Vasilescu-actrice, Radu Gheorghe-acteur, Virginia Mirea, actrice , Crin Antonescu-deputé, Stefan Karadja- révolutionnaire bulgare

Ensuite, nous recommandons certains itinéraires pour visiter d'autres attractions touristiques dans le département.

Circuit no. 1
Le tour des monastères

Durée: 1 journée
Itinéraire: Lieu de départ Tulcea-Visite de la mosquée AZIZE située à Babadag-puis du monastère VEDENIA-monastère USPENIA-monastère CELI-DERE-repas pris à l'auberge (Izvorul Cerbului) monastère.COCOSUL- Retour à Tulcea.
Distance 180 km.

Circuit no. 2
Visite des Monastères

Durée: 2 jours
Distance(approximativement 240km)
Itinéraire: -Tulcea- La Mosquée AZIZE à Babadag - Les Monastères VEDENIA - USPENIA - COCOSUL - Basilique de NICULITEL - Les Monastères CELIC-DERE et SAON - Retour à Tulcea.

Circuit no. 3
Delta-Tulcea-Mila 23 et retour

Circuit no. 5
Tulcea-Mila 23-Letea-Crisan-Monastère Batag-Maliuc-Tulcea

Durée: 4 jours
1er jour
Départ de Tulcea vers 8.00-8.30 heures,- Pour le bras du Danube Sulina par le canal Iulia 22, et ensuite le canal Olguta,-Repas du midi sur le bateau, arrivée a Mila 23 vers 14.30,- Visite du village et balade en bateau, observation des paysages, safari photos, baignade possible dans les lacs et pêche dans les canaux et lacs-Repas du soir et hébergement dans l´auberge de Mila 23.
2ème jour

Départ vers 7.30 pour Letea, bras de l´ancien Danube, canal Majearu, Letea-Petit déjeuner sur le bateau, arrivée à Letea vers 10.00 heures.-visite du village et de la forêt en chariot, la forêt se trouve a 1km du village et le circuit dure 4 heures, il est de 6 km,-retour au bateau vers 14.30-15.00 heures.-Repas du midi sur le bateau, départ pour Crisan à 16.00.-Arrivée à Crisan vers 18.00-18.30, visite du village-, observation des oiseaux. -Repas du soir et hébergement dans un auberge de Crisan.
3ème jour

Petit déjeuner dans l'auberge vers 8.30-9.00 heures,-Départ pour le monastère du Batag vers 9.30, arrivée au monastère vers 12.00.-Visite du monastère et le repas du midi suivi d´ un petite liqueur produite par les popes.-Départ vers Maliuc, arrivée vers 18.00 heures, visite du petit village,
hébergement et repas du soir dans l'auberge, Salcia.
4ème jour

Petit déjeuner dans l'auberge vers 9.00 heures, départ pour Tulcea vers 10.00 heures, canal Iulia 22, canal Sontea, lac Fortuna, lac Nebunu.- Partie de pêche, observation de la faune et de la flore
Repas du midi sur le bateau. - Arrivée à Tulcea vers 17.00 heures.

Et nous nous rappelons le Delta du Danube de façon à faire une description détaillée.

Nous allons à préciser Le Delta du Danube, est situé pour les trois quarts au nord de la province de Dobrogée, et pour un quart dans la province ukrainienne d'Odessa, dans la région du Boudjak en Bessarabie méridionale. C'est le plus grand des deltas européens, avec une superficie de de 3 446 km².. L'apport d'alluvions par la mer a créé les grinds, langues et bancs de sable qui ont divisé le golfe en lagunes, peu à peu comblées par les alluvions terrigènes du Danube et par les accumulations de plaurs (végétaux morts et vivants flottants aux hautes eaux, posés sur le fond à l'étiage, et si solides qu'on pouvait construire des cabanes de roseaux dessus). Les navigateurs grecs découvrent le Delta vers la fin du VIIe siècle av. J.-C. avant notre ère, et Hérodote le décrit avec force détails in operele sale. Alors que l'érosion croit dans le bassin versant, les alluvions déposées par le Danube élargissent le delta d'environ 40 mètres par an, le rendant ainsi très dynamique, mais ces alluvions peuvent contenir de nombreux polluants.

Il y a environ 2 500 ans, selon Hérodote le Danube était divisé en sept branches. En amont de Tulcea, le Danube est aujourd'hui divisé en trois bras qui vont se jeter dans la mer : au nord Chilia, qui fait office de fontoère roumano-ukrainienne, au centre Sulina et au sud Sfantu Gheorghe (Saint Georges), mais beaucoup d'autres canaux irriguent le Delta en nombreux secteurs avec des roseaux, des marais ou des forêts, qui sont parfois inondés au printemps et en automne. À 44 kilomètres au large du delta en Mer Noire se trouve l'ile des Serpents, un territoire de 0,17 km2 cédé de force par la Roumanie à l'URSS en 1948, aujourd'hui ukrainien, revendiqué par la Roumanie. C'est aussi le cas de quatre iles du bras de Chilia: Dalerul mare, Dalerul mic, Coasta Dracului (en aval de Pardina) et Limba (au sud du delta de Chilia). Ce litige concerne aussi le statut du port de Sulina (qui deviendra frontalier de l'Ukraine si celle-ci gagne devant la Cour internationale de justice) et un vaste périmètre d'eaux territoriales riches en gaz et pétrole.

A peu près 3 000 pélicans blancs sont les oiseaux-rois du delta. Ils représentent la plus grande population nicheuse d'Europe. Un millier de couples de pélicans frisés ont été recensés. Plus de 75 couples de spatules blanches nettoient avec leur bec les fonds vaseux du sud du delta. Reconnaissables à leur plumage foncé et iridescent, 1 500 couples d'ibis falcinelles peuplent la contrée, essentiellement près du lac Sinoe, en Roumanie. Le delta offre au cormoran pygmée un des sites de nidification les plus importants du monde. 2 500 couples s'y rassemblent. On compte 5 couples de pygargues à queue blanche dans le delta. L'envergure de ce rapace peut atteindre plus de deux mètres. Le balbuzard pêcheur est un rapace en voie de disparition dans la région. Officiellement, 3 couples seulement ont été répertoriés. Sous, les serres, des excroissances charnues lui permettent de mieux retenir les proies glissantes.

Le tadorne casarca, cette espèce de canard peu répandue, serait représentée du côté de l'ile Popina, sur le lac Razelm, en Roumanie, par une dizaine de couples, un chiffre non confirmé officiellement. Les amis de la nature espèrent, sans en être sûrs, que l'érismature à tête blanche, oiseau très rare repéré aussi dans le sud de l'Espagne, niche encore dans le delta. L'esturgeon, venu de la mer Noire, remonte le fleuve et ses affluents. Il peut mesurer jusqu'à quatre mètres de long. On trouve le silure, parfois nommé à tort poisson-chat, sur l'ensemble du Danube mais plus encore à l'embouchure. Très vivace, le silure peut capturer les petits oiseaux et mammifères. Sa chair est excellente.

La loutre commune, carnivore au poil épais et soyeux, a beaucoup souffert de la pollution le long du fleuve mais reste anbondante dans le delta. Le chien viverrin est un canidé nocturne qui se regroupe en famille de 5 ou 6 individus. Il se nourrit de petits rongeurs, de poissons, de glands, de baies et de fruits.

Après avoir visité le Delta du Danube on sera invité dans une région chargée d'histoire et de la culture: la Moldavie. Pour cela on doit passer par le Danube ferry de Braila ou Galati. De là, vous irez au nord du pays.

Mais pour y arriver, il est conseillé de passer par Focsani (où a ete fait la Grande Union des Principautés Roumaines de 1859), Vaslui (où Etienne le Grand a remporté une grande victoire contre les Turcs) et Suceava (l'ancienne forteresse président de Moldovie) .

Le prochain point de référence important sur notre carte est un des plus grands centres culturels du pays: Iasy. Il est le chef-lieu du departement de Iasy, l'ancienne capitale de la principauté de Moldavie. Selon une légende, le nom se réfère à l'ancien peuple scythe des Iazyges qui occupa le territoire au XVIe siècle av. J.-C. La ville se trouve sur le Bahlui, un affluent de la Jijia, qui se déverse dans le Prut. Elle s'étend sur sept collines, avec une altitude qui varie entre 40 m dans le bassin du Bahlui et 400 m des collines Paun et Repedea.

L’église Trois Hiérarques La Mitropoly du Moldavie et Bucovina

Iasy est mentionné pour la première fois dans un privilège commercial émis en par le prince de Moldavie Alexandre I le Bon (Alexandru cel Bun). La légende place la fondation d'Iasy dans des temps immémoriaux, lorsqu'un souverain de Valachie cria à un berger nommé Dediu de sortir de sa cabane pour lui parler. Il lui dit : Iesi pana afara sa vorbim ceva! (Sors dehors, que nous puissions parler un peu) - Iesi (Sors) se prononce en roumain presque comme le nom de la ville, Iasy -. Du point de vue historique, le nom de la ville se réfère, d'après les spécialistes, à la présence en ces lieux d'un groupe d'Alains, qui portaient le nom d'Iasy. Un petit nombre d'historiens considère que l'année aurait été celle de la création de la ville, celle-ci est inscrite dans l'église arménienne du vieux centre.

Beaucoup d'événements importants pour les Roumains se sont passés à Iasy, la capitale de la Moldavie, durant trois siècles (1564-1862). Ici se trouvait la résidence permanente ou temporaire de Alexandre le cel Bun , de Etienne le Grand, de Michgel le Brave, de Alexandre Lapusneanu, de Basile le Loup , et d'autres voïvodes illustres de Moldavie. Un traité entre l'Empire russe et l'Empire ottoman a été signé à Iasy en . La ville a connu beaucoup de problèmes (elle a été pillée et incendiée par les Tatars et les Cosaques, elle a été détruite de manière importante pendant la Seconde Guerre mondiale), mais elle a pu renaitre à chaque fois, et est devenu aujourd'hui une ville moderne. La ville fut le théatre de l'un des plus violents pogroms de l'histoire, le pogrom d'Iasy le 27 juin . Il a une population de 340 000 habitants

Iasy est la ville des grandes idées, de la première grande union, du premier spectacle théatral en langue roumaine et du premier musée littéraire mémorial (Bojdeuca de Ticau).

Sur la colline de Copou se trouve la plus ancienne université de Roumanie, l'Université A.I.Cuza. Fondée en 1860 par décret par Alexandru Ioan Cuza, pour remplacer la vieille Académie de Mihai, elle compte aujourd'hui 15 facultés et plus de 35 000 étudiants. Le batiment principal, monument d'architecture, a été construit en .

On trouve aussi à Iasy l'église des Trois Hiérarques, un témoignage des goûts esthétiques du grand souverain Basile le Loup , la Cathédrale du Métropolite et nombre d'autres églises dignes d'intérêt, le Palais de la Culture, la Maison Pogor avec la Table des Parapluies, les allées du Copou avec des senteurs de tilleuls et les échos du poème d'Eminescu le Tilleul, sans oublier le musée Mihai Eminescu, le Théatre national (qui abrite aussi l'Opéra), la Philharmonie d'Etat 'Moldova' et ses chœurs 'Gavriil Musicescu', ainsi que les maisons mémoriales 'Mihail Sadoveanu', 'George Toparceanu', 'Mihail Codreanu', 'Otilia Cazimir'.

À Iasy ont vécu ou ont été formés des hommes comme les métropolites Varlaam et Dosoftei,les chroniqueurs Grigore Ureche, Miron Costin, Nicolae Milescu Spatarul et Ion Neculce, le savant de rénommée européenne Dimitrie Cantemir (prince de Moldavie, conseiller du tzar Pierre le Grand et savant européen, membre de l'Académie des Sciences de Berlin au XVIIIe siècle). D'ici se sont élevés Gheorghe Asachi, Mihail Kogalniceanu, Alexandru Ioan Cuza, Vasile Alecsandri, Alecu Russo, A. D. Xenopol, Vasile Conta, Titu Maiorescu, Ion Creanga, George Ibraileanu, Mihail Sadoveanu, Nicolae Iorga, Marian Ralea, dr. C. I. Parhon, Horia Hulubei, Gr. Cobalcescu, Petru Poni, Radu Cernatescu, Otilia Cazimir, Ionel Teodoreanu, Costache Negruzzi, Alexandru Philippide, Theodor Pallady, Emil Pangrati(fondateur de l'école roumaine d'architecture) et Emil Racovita (biologiste et explorateur aux côtés d' Amundsen, fondateur de la biospéléologie). Le seul Roumain qui a reçu un prix Nobel, George Emil Palade, est né à Iasy.

Dans la liste ci-dessus ont expressément omis un nom: Mihai Eminescu.

Il est consideré comme le plus grand poète roumain de tous les temps. Mihail (comme indiqué dans le registre de baptême) ou Mihai (forme roumaine) est né à Botosani ou à Ipotesti,, septième enfant parmi onze. Il a comme professeur de littérature roumaine Aron Pumnul, une figure des années révolutionnaires de 1848. La vocation d'écrivain d'Eminescu apparait en . En janvier, son professeur Aron Pumnul meurt, et les élèves du lycée de Czernowitz publient un pamphlet, Les larmes des élèves du lycée dans lequelle se trouve un poème intitulé À l'enterrement d'Aron Pumnul signé 'M. Eminoviciu'. Le 25 février, son poème Si j'avais est publié à Pest dans le magazine littéraire de Iosif Vulcan Familia. C'est le commencement d'une série continue de poèmes publiés (avec leur traduction occasionnelle depuis l'allemand]). C'est aussi Iosif Vulcan, qui n'aime pas l'origine slave du suffixe '-cz' du nom du jeune poète, qui choisit pour lui le nom de plume plus roumain de Mihai Eminescu.

Ces poèmes couvrent une vaste gamme de thèmes, de la nature et de l'amour à l'histoire et au commentaire social. Ses jeunes années pleines d'insouciance furent évoquées dans des poèmes plus tardifs avec une profonde nostalgie. Eminescu fut influencé par le travail d'Arthur Schopenhauer, et quelques-uns ont suggéré que son poème le plus connu, 'Luceafarul', est basé sur un travail allemand plus ancien ou sur la Katha Upanishad. Les poèmes d'Eminescu ont été traduits dans plus de 60 langues.

Ses poèmes les plus importants sont :

Doina (le nom désigne un type de chanson traditionnelle roumaine),Le lac, Luceafarul (Hypérion), Fleur bleue, Désir, Soir sur la colline, Oh, reste, Épigones, Lettres, Et si, Ode (en ancienne métrique), J'ai encore un seul désir, D'ici à l'étoile qui parait

Prose:

  • Prince Charmant, Génie gaché, Pauvre Dionis

Etant au milieu du jardin Copou, le Chaux d'Eminescu est devenue un symbole de Iasi, qui est un véritable lieu de pèlerinage pour les romantiques. Il existait déjà lorsque le parc a été fondé comme une relique de ce qui était avant sur ces lieux. L'attachement de Mihai Eminescu pour la chaux semble être une nostalgie germanica, l'éducation faite par le grand poète à Vienne et à Berlin.

Eminescu est omniprésent dans la Roumanie d'aujourd'hui. Ses statues sont partout. Son visage est imprimé sur le billet de 1000 lei de 1998, et il l'est sur le billet de 500 lei de 2005 (c'est la plus haute valeur de billet pour le nouveau leu) ; de nombreuses écoles et d'institutions portent son nom. Les anniversaires de sa naissance et de sa mort sont célébrés chaque année dans de nombreuses villes roumaines, et ils ont été l'objet de célébrations nationales en 1989 (centenaire de sa mort) et 2000 (cent cinquantenaire de sa naissance), qui a été proclamée Année Eminescu en Roumanie.

Après nous avons visité Iasi continuer notre cheminement vers la Bucovine. Sur cette route nous vous invitons découvrir quelques unes des monastères de la Bucovine, comme:

  • Agapia, Putna, Voronet, Moldovita, Sucevita, Humor

La Bucovine, province située au Nord-Ouest de la Roumanie, est fameuse grace aux merveilleuses fresques extérieures qui parent les murs de ses monastères.

Ces monastères, chefs-d'oeuvre de l'art sous l'influence byzantine témoignent de l'essor de la civilisation de la Moldavie au XVeme et au XVIeme siecles, sous le regne de Etienne le Grand,1457-1504. Inclue dans l'ex-Union Soviétique jusqu'en 1944, la Moldavie est une belle région dont les vastes surfaces collinaires et les foręts sont pleines de choses peu connues, mais extraordinaires. Il ne tient qu'à vous de les découvrir!

Un bon exemple dans ce sens est la région de Targu Neamt. Avec un peu de chance vous allez voir des bisons, une espèce en voie de disparition et qui n'existe aujourd'hui que dans une réservation naturelle. Les vins de Moldavie sont renommés depuis plus de cinq siecles. Il y a des vignobles oů l'on permet l'acces aux visiteurs.

Les monastères de Bucovine

Ces monastères constituent l'attraction principale de la Bucovine grace aux fresques en couleurs vives qui parent les murs de leurs églises. Les fresques représentent des scènes bibliques et d'autres scènes religieuses. Leur style ressemble aux bandes dessinées. A l'origine, elles étaient destinées à exciter l'imagination des hommes et à les éduquer dans l'esprit traditionnel orthodoxe. Les églises à haut toit pointu sont situées au centre des ensembles monastiques. Les rayons de soleil y pénetrent difficilement. Il y a cinq monastères qu'il faut absolument visiter.

Voronet - La Chapelle Sixtine de l'Orient

En 1488, Etienne le Grand a fait construire cette 'Chapelle Sixtine de l'Orient'.

Il n'a été que plus tard qu'on a couvert les murs du monastères de fresques en couleurs vives. Les peintures témoignent de la façon dont on a adapté l'art classique byzantin aux realités de la Moldavie. Ainsi, les clairons des archanges prennent les formes des buccins q'utilisaient les paysans de la région. Les ames damnés portent des turbans tout comme les ennemis turcs.

La monastère de Sucevita

Situé dans une vallée verte d'un pittoresque merveilleux, le monastère de Sucevita est un monastère fortifié comme une citadele et muni de quatre tours. Des milliers de peintures parent les murs de l'église. En effet, de tous les monastères, c'est celui de Sucevita qui est ornementé du plus grand nombre des peintures, bien que son mur ouest soit blanc. Selon la légende, le peintre qui a décoré cette église est tombé de l'échaffaudage et est mort. Ainsi le mur est-il resté blanc. En visitant ce monastère, admirez les scenes peintes sur le mur orienté vers le sud.

La monastère Humor

Le monastère Humor est assez petit. Parmi les peintures qui parent ses murs vous allez découvrir une illustration du poeme 'La Chute du Constantinople' qui releve les sentiments des Roumains envers les Turcs. Cette peinture avait pour but le maintient des la croyance chrétienne des Roumains. Sur les autres murs vous pouvez admirer 'Le retour du fils prodigue', peinture oů le diable est représenté humoristiquement sous la forme d'une femme goulue. Il y a des siècles, les moines avaient fondé ici une école oů l'on enseignait l'art de la caligraphie et de la miniature.

Le monastère Agapia, Neamt

En partant de Targu Neamt, vous pouvez très facilement arriver à beaucoup des monastères et des fortresses extraordinaires. Agapia, un monastère qui date du XVIIIeme siècle, s'élance vers les cieux, blanche et brillante, comme un temple grec. Neamt est le monastère le plus ancien de la Moldavie.

La Fortresse de Neamt était un point clé pour la défence de la région. Un peu plus vers l'ouest se trouve la montagne Durau et une station portant le męme nom. C'est la que vous pouvez faire du ski.

Nous continuons notre voyage à travers les Carpates dans la ville de Sighisoara qui est une municipalité sur la rivière Tarnava en Transylvanie. Elle se trouve dans le departement de Mures et a une population de 32.287 en .

Une colonie dace près de Sighisoara appelée Sondava date du IIIe siècle av. J.-C. C'était le site d'un castrum romain et la base d'une légion romaine depuis le IIe siècle. En Sighisoara devient une résidence royale, mentionnant l'état de colonie urbaine en sous le nom de Civitas de Segusvar. Les artisans et marchands allemands dominent l'économie de la ville, et construisent des fortifications pour la défendre. Le voïvode de Valachie, a écrit le premier document mentionnant le nom de la ville en roumain, Sighisoara. Après la Première Guerre mondiale, Sighisoara passe avec la Transylvanie de l'Autriche-Hongrie au royaume de Roumanie

Le centre de Sighisoara a gardé de façon exceptionnelle les caractéristiques d'une petite ville fortifiée médiévale. La centure de fortification est conservé presque intégralement, avec 9 tours, qui ont résisté à vitregiilor temps.

Tour de l'horloge Rue étroite médiévale Édifice typique de la région

<<TURNUL TABACARILOR>>

Est une des plus anciennes tours, sous la forme de lumière petite place avec le toit en un seul inclinat l'eau vers la ville. Le tour Barbierilor a été détruit en 1632. Il peut être des traces visibles aujourd'hui sur le platre des murs des villes.
<<TURNUL COSITORARILOR>>

Une étrangeté de la construction, l'architecture et puissante comme toujours adapté à la lutte contre la technique, une date avec le passage du temps. Le cadre rectangulaire soutient une trunchi pentagonale. Toit hexagonal avec des côtés inégaux s'appuie sur les colonnes massives qui se situe entre les créneaux pour l'enfant. Historical data mentionne une réparation effectuées pendant l'année 1583, et le reste des archives est assez faible. Ce bastion, remplis avec de la terre aujourd'hui, est exceptionnel dans le positionnement, avec une large vue sur les environs.
<<TURNUL GIUVAERGIILOR ou AURARILOR>>

Mentionné le documentaire en 1511 et construit le point culminant de la ville, dans le sud-ouest de l'extrémité supérieure du plateau, Tour Giuvaergiilor tour est entouré par la plupart des légendes ayant un historique important desavarsita. En 1603, la tour est restaurée et renforcée par un fossé et une vague de terre. Après une explosion qui a jeté en l'air lien entre le mur TURNUL AURARILOR TURNUL FRINGHERILOR et le sort de la tour qui était propriétaire depuis une position longue dans la clé de la défense de la ville sighisorene, n'a jamais été plus tragique.
En 1809, un foudre détruisant le toit et l'étage supérieur et en 1863 le vieu mur est transformé en une salle de gym en Scolii Deal, être parmi les premiers en Transylvanie, puis d'en faire l'année 1935 dans la chapelle mortuaire.
<<TURNUL FRANGHERILOR>>

Défendent coin du nord-ouest du plateau au-dessus, avec un plan carré superposées sur un mur plus tôt. Après les recherches menées en 1935, a révélé des traces de remparts d'un mur plus tôt.
Reparat en 1630, il a ensuite été transformé en logements pour les paznicul cimetière.
<<TURNUL MACELARILOR>>

Suite au mur, entre TURNUL FRANGHERILOR et TURNUL MACELARILOR, à une valeur documentaire, parce que vous avez conservé l'ensemble de hauteur, ce qui laisse clairement à lire chaque phase de construction à divers stades de développement ville. TURNUL MACELARILOR augmente avec cinq parties le mur extérieur, un sixième constituant un mur lui-même.
Construit probablement au XV siècle, reconstruit au XVI siècle - nous nous souvenons des documents pour la première fois qu'en l'an 1680. Sa position au pied de ma colline escarpée de parties qui tombe sur le plateau ci-dessus pour expliquer le bas plateau importance stratégique de ce poste de défense. Nous aller au bout de quelques mesures strapuns mur est une chochet arc de la porte appelée de la population locale '' torle. '

<<TURNUL CROITORILOR>>

Nous recevons à la deuxième porte d'accès à la forteresse, la première '' Porte de la jeune fille 'est bordée par TURNUL avec les AEC. Datend probablement deuxième TURNUL CROITORILOR XIV siècle, present une architecture d'une noble simplicité, avec un toit solide, rectangulaire, il est plus faible. Au-dessus de la porte se dresse la tour de deux étages avec fenêtres dessin. L’incendie en avril 1676, a brûlé en 6 heures, trois quarts de la ville. La tour a été entièrement reconstruit en 1679, elle était équipée d'armes nécessaires.
<<TURNUL CIZMARILOR>>

Environ 180 mètres le long mur reconstruit plus tard, nous faisons l'expérience de TURNUL CIZMARILOR, documentaire confirmé en l'an 1594, en cours de reconstruction en 1650.
La forme hexagonale, avec des côtés inégauxlui offre un pittoresque d’exception.

Sighisoara est inscrite par l'UNESCO comme patrimoine mondial. Chaque année, un festival médiéval se tient dans la vieille citadelle en juillet. L'attraction de la ville est la vieille tour de l'horloge, qui fait 64 mètres, et qui a été construite en 1556. C'est aujourd'hui un musée d'histoire de la ville.

De par son lien inventé au mythe de Dracula, la construction d'un parc à thèmes 'Dracula' à Sighisoara fut envisagée, mais finalement abandonnée, en raison des nuisances qu'il aurait pu apporter au style médiéval de la ville et de son inexactitude historique.

A 150 km au sud de Sighisoara on trouve une autre ville importante: Brasov. La ville est située sur un plateau à la courbure des montagnes Carpates et de ce fait elle enregistre pendant l'hivers les températures les plus bas du pays. En règle générale chaque hivers à ses périodes ou les températures peuvent descendre jusqu'à -10 ou parfois même en dessous de -20 degrés Celsius pendant quelques jours ou semaines. Cependant sa position montagneuse la protège contre les vents violents de neige qui se forment en Moldavie à l'est des Carpates et en Valachie au sud des Carpates. Pendant l'été, les températures peuvent dépasser 30 dégrés Celsius comme c'est le cas dans les autres villes de Roumanie. Cette différence de températures en 'hiver et l'été est due au climat de type continental. Elle fut construite en 1211 par l'ordre teutonique comme fief de l'ordre avec un ensemble de fortifications puissantes qui devait être capable de stopper ou de limiter l'effet destructeur des invasions mongoles (et tatares) qui avait décimé le territoire à l'est qui correspond à l'Ukraine de nos jours (beaucoup de russes d'Ukraine avait alors fuit vers Moscou et les régions du nord). Après ces invasions, l'ordre se déplaça peu à peu vers le nord de l'Europe et la ville continua son développement avec une population allemande importante et une population roumaine moins importante jusqu'au début du XXe siècle.

un drapeau de 1600 sculpture d'un blason ancien sur une porte

Le nom roumain Brasov est mentionné dans les documents latins du début du deuxième millénaire sous les noms de Barasu et Brasu pour la région. Pourtant, dans les mêmes documents latins, on désigne la ville sous le nom de Corona. On observe ainsi dans le temps la superposition des deux noms Corona/Kronstadt et Brasov. De toute évidence, l'origine de ce double-nom ainsi que l'année de fondation de la ville restent ouvertes à toute autre conclusion. En ce qui concerne le nom allemand Kronstadt ou latin Corona, il semble relié au nom de la colline Tampa.

Devant les années, la ville a subi des nombreuses calamités sans pour autant interrompre le développement de la ville :

  • Tremblements de terre : , , , , , , ,
  • Tempêtes : , , , , , ,
  • Incendies : , , ,
  • Invasions barbares et autres : (tatars), (turcs), (turcs), (tatars)

Maladies et épidémies mortels : , - , - , , , - , , (pour la première fois on a pu prendre des mesures efficaces pour éliminer l'épidémie)

Depuis 1968 il s'y tient le concours et festival international de musique le Cerf d'Or avec des participants tels que Céline Dion, Gilbert Bécaud, Josephine Baker, Toto Cutugno, James Brown, Christina Aguilera, Kenny Rogers, Ray Charles, UB40, INXS, Scorpions, Ricky Martin, Pink, Sheryl Crow, Kelly Family, Julio Iglesias qui est aussi le plus vendu chanteur étranger en Roumanie ainsi que de nombreux autres. Julio Iglesias doit passer de nouveau dans la ville dans son tourné qu'il veut faire en ainsi que dans 4 autres villes.

Les Juni de Brasov , appelés aussi les jeunes juni, 'june' au singulier, sont des gens roumains qui veulent garder une tradition très ancienne d'origine païenne. Même si le nom se rapproche du nom jeunes, ce nom ne veut rien dire d'autre en roumain moderne. Cependant en Transylvaine il a la signification traditionnelle de jeune homme non-marié. Traditionnellement, les jeunes qui voulaitent devenir des juni devaient le faire entre 16 et 18 ans et une fois qu'ils étaient mariés, ils devaient absolument quitter cette organisation (ce n'est plus vrai de nos jours).

Image d'un june à cheval Un défilé de plusieurs juni derrière l'Église Noire

'Les juni doivent être regardés comme un reste de l'époque païenne, une ancestrale fête de printemps, [] la suprématie du soleil sur la dureté et le froid de l'hiver []. Elle doit être considéré comme un culte pré-chrétien qui se passe toujours sur des collines, une habitude connue aussi par les daces' (Julius Teutsch, chroniqueur saxon)

Par exemple, voici comment les brasovenes dépenser une partie de leurs vacances

Le premier dimanche après les Paques, à la fin de la Semaine illuminé, les citoyens de Brasov et les touristes peuvent assister à un spectacle avec des éléments de mythe, des rituels et des cérémonies ainsi que de la magie.

Les 7 groupes de juni (environ 200 personnes de nos jours) vont se mettre en colonne et partir, mais ils font un nouveau arrêt à l'endroit appelé 'la petite Troie du Capitaine Ilie Birt' où chaque groupe chante 'Jésus est resuscité' avant de partir pour de bon vers les Pierres de Solomon. Ce qu'on appelle petite Troie ou Troita est en roumain un petit édifice situé aux carrefours et qui représente d'habitude une croix et des icônes. Aux Pierres de Solomon commence la fête avec les filles et les autres invitées qui sortent à l'hora et jettent des 'buzdugans' (c'est une grosse boule en métal avec des épines). Avant la tombé du soleil, les 7 groupes partent vers la ville dans le même ordre que celui d'arrivé et on les reçoit 'avec les portes ouvertes'.

Autres manifestations culturelles

Les jours du Brasov - chaque année au même temps que les festivités des Juni

La marché des 'gens qui savent un métier' de tout le pays - chaque année en corrélation avec les Jours du Brasov

Festival de Jazz et Blues - chaque année

Festival de la musique de chambre - chaque année

Festival du théatre contemporain - chaque année

Festival de la Bière dit aussi le grand de la bière chaque année

Festival de l'Aurore dit aussi le petit de la bière - chaque année

Festival de la récolte - chaque année

Ensuite, nous présentons certaines des histoires intéressantes. Les Pierres de Solomon[ se trouvent à 2 km de la ville. Ce sont deux grands rochers ou montagnes, un à coté de l'autre. La légende dit que Solomon était un roi hongrois qui fut répugné par sa mère pour avoir tué son frère et condamné à mourir dès qu'il rencontra un homme ordinaire. Solomon s'est ensuite refugié dans cette zone du pays sur une haute montagne. Voyant un berger roumain et de peur qu'il ne meure, il est parti en arrière mais son cheval s'est déséquilibré et il est tombé du haut de la montagne.

À l'endroit ou il est tombé le mont s'est divisé en deux et ainsi les deux rochers sont apparu. Dans les dernières secondes de sa vie, Solomon a acquis un haut degré de sagesse et dans sa chute il s'est accroché aux racines d'un arbre. À ce moment il a placé à la racine de l'arbre sa couronne, car il ne pensait plus être digne de la porter.

Banc en pierre L’église Noire La place Sfatului (pendant l’hiver)

Histoire du banc mystérieux. Sous la Tempe, parmi les bancs en bois il y a un banc très petit en pierre. On dit qu'il est tombé du ciel, au même moment que deux amoureux s'embrassaient. Cette explication se trouve dans un document de 1817 qui précise le nom de la jeune fille, Ana Maria.

Histoire de les 7 escaliers. Pas loin de la ville se trouve un passage très étroit dans la roche, cascade d'une rivière de source de 120m différence de niveau. Cet endroit assez dangereux pour les enfants et les adultes non expérimentés est aménagé avec 7 escaliers en métal, dont chaque escalier monte à la verticale et parfois il est humide. Le trajet nécessite environ 10 heures de route à pied aller-retour, ce qui est faisable en un jour. Chaque jour en été, il reçoit des touristes de la ville. L'endroit est connu comme les sept escaliers.

Peut-être vous rappeler par Vlad Tepes. Parce que nous sommes à Brasov doit visiter le chateau de Bran, la place qui a donné au monde le nom de Dracula liés Tepes

Le chateau de Bran a été batit à la fin de XIV-ème siècle par Louis I d'Anjou, roi d'Hongrie pour la fortification des frontières. Bien que l'intention d'édifier à cet endroit une forteresse est attestee documentaire depuis 1364, la construction fit reellement finite en 1382.Dans le XV-eme siecle, le chateau de Bran est passe sous la possesion de Mircea l’Ancien, mais après sa mort en 1418, Sigismund de Luxemburg, donne l'autorite sur le chateau au voivode de Transilvanie. En 1442 Iancu de Hunedoara, vaince les armees otomanes a Bran et denomme Nicolae de Bizere comme Castelan de Bran. Etant place a l'intersection des grands chemins commerciaux, la ville de Brasov, devient au XV- ème siècle une des plus importante centres economiques.

A la fin du XIX ème siècle, l’écrivain britannique Bram Stoker, à la recherche de la gloire et sur le fond d’une atmosphère macabre due aux crimes de Jack l’Eventreur, et des scandales autour du comportement d’Oscar Wilde, publie son roman Dracula (1897), inspiré des histoires d’un de ses amis (professeur de l’Université de Budapest), concernant un prince fort cruel de Valachie, assoiffé de sang, selon les chroniques de l’époque beaucoup des actes sanglants et macabres ont été repris de la vie d’une comtesse hongroise Bathory - et qui de fait a vécu bien après notre prince valaque. De ces histoires, l’imagination de Stocker et de ses successeurs a tissé tout ce qui désormais a trait aux vampires et au vampirisme.

En réalité, vers 1450, la confrontation avec l’Islam, dont la fin approchait dans la péninsule ibérique,  était  à son apogée dans la région du bas Danube. Peu avant sa mort le grand héro autochtone d’origine roumaine, Iancu de Hunedoara précédemment gouverneur de Hongrie) a aidé, parait-il, à installer sur le trône du Pays Roumain (dénommée Valachie par les étrangers), le fils de Vlad Dragul, Vlad al III-lea Dragulea (= le fils de Dragul), appelé par la suite Vlad Tepes (d’après les chroniques ottomanes) ou alors Vlad Dracula (selon les chroniques catholiques occidentales). Ce prince Vlad III (1456-1462), est parvenu en occident, un héro de roman et de films fantastiques et sanglants, comme le prototype du vampire fut surtout un farouche combattant anti-ottoman en Valachie et non en Transylvanie comme on le prétend dans la légende.

C’est des saxons que provient – dit-on – le surnom de Dracula : car ceux-ci prononçaient „g” comme „c” et disaient au lieu de 'Dragulea' (fils de Dragul) 'Dracula' (fils de Dracul); sachant qu’en roumain 'drac' signifie diable et souhaitant lui faire mauvaise renommée ont accrédité l’idée que Vlad était „le fils du diable” .Une autre explication du nom de Dracula peut venir de l’Ordre des Dragons, dans lequel fut reçu le père de notre héro, par Sigismond de Luxembourg, roi de Hongrie et Empereur Romano-germain.

Vlad Tepes est resté dans les consciences roumaines comme un héro chrétien, grand défenseur de la civilisation européenne et comme un symbole du droit. Ses actes légendaires parlent de sa violence mais aussi de son esprit de justice. On dit qu’il n’avait pas de pitié pour les valeurs, les criminels et tous autres bandits, à qui il appliquait des chatiments cruels, de l’amputation des mains jusqu’à l’empalement. On dit encore qu’on pouvait laisser, à cette époque une bourse d’argent au bord du chemin sans que quiconque s’en empare ! De plus, les roumains lui doivent la capitale actuelle – Bucarest – mentionné pour la première fois comme cité – dans un document rédigé par Vlad Tepes lui-même.

Apres 1990 la région Bran - Moeciu a connu un grand développement du tourism rural de Roumanie grace a la beaute des paysages et aux traditions.

Voici quelques dates importantes dans l'histoire du lieu:

25 avril - la mesure du lait : on choisit le meilleur éleveur (de bétail);

mai - le départ des moutons a la montagne ;

24 juin - l'olympiade d'été de Sirnea

20 juillet - Le Saint Ilie

25+26 juillet - la foire d'été de Moeciu

9 aout - la foire de Pantelimon, Bran

august - la fête montagnes de Fundata

25 oct. - le feu Sumedru

octombrie - on choisit le meilleur éleveur (de bétail), Bran

8 nov. - la foire des Saints Arhanges Mihai et Gavril, Bran

Comme une curiosité, on peut dire que c'est là que se trouve le coeur de la Reine Marie. La reine Maria est morte le 18 juillet 1938 au chateau Pelisor. Conformement aux prévisions testamentaires, son corps a été inhumé à Curtea de Arges, et son coeur a été mis dans sa fondation 'Stella Maris' de Balcic. Aprčs la cession de Cadrilater à la Bulgarie le coeur de la Reine Maria a été dépose dans niche d'une roche prés du chateau de Bran pour etre apporté en mars 1971 dans la patrimoine du Musée National d'histoire de la Roumanie.

Une fois dans la région de Brasov entre la vallée de Prahova, célèbre pour ses stations balnéaires, fréquentées en particulier pendant l'hiver.

Le premier recours est Predeal. Il est situé sur la vallée de Prahova, près de passage avec le même nom dans les Carpates Meridional, altitude 1.060 m, le plus important de passage entre la Transylvanie et la Valachie, tandis que l'un des liens entre Budapest, capitale de la Hongrie, et à Bucarest, la capitale de la Roumanie. La route nationale passe Predeal DN1 et une voie ferrée electrifiée les deux sens.

La ville est délimitée par un massif 5: Postavarul, Big Stone, Bucegi, et Baiului Fetifoi. Dans le passé, était la frontière entre l'Autriche-Hongrie et la Roumanie. Pendant la Première Guerre mondiale dans ce domaine ont eu de violents combats. Actuellement, Predeal est connu principalement à cause du telesckis et des téléphériques avant qu'il offre la possibilité de faire du ski.

Resort stations d'importance nationale, accessibles en toutes saisons Predeal est appelé un centre de sports d'hiver. Climat de montagne tonique-stimulant, avec des étés frais (température moyenne en Juillet est de 15 ° C) et des hivers froids (moyenne des mois de Janvier est inférieur à -5 ° C). Température moyenne annuelle de 5 °C et les précipitations moyennes de 1000 mm par an.

La couche de neige dure plus de 100 jours par an. Air pur, libre de poussière et des allergènes, riche en ozone et rayons ultraviolets,et relativement faible pression d'air sont les principaux facteurs dans le traitement recommandé guérir la névrose asthénique, pour relancer slabite organismes pour de plus amples suprasolicitations récupération physique et intellectuelle. La station est moderne et elle a de nombreux hôtels et villas, mais l'hébergement peut se faire dans des maisons privées. Il y a de nombreuses possibilités pour le plaisir, les sports d'hiver et des voyages à proximité des chalets de montagne (Trois Brésil - altitude de 1128 mètres, Clabucet Arrivée - 1050 mètres, Clabucet de départ - 1450 mètres, Girbova - 1350 mètres, Piatra Mare - 1630 m, Susai - 1350 mètres, la compensation Secuilor - 1070 mètres, etc.) departate ou Mai, sur les crêtes Bucegi. Diverses pistes de ski (Clabucet - éclairée la nuit, teleski, Cioplea)

La deuxieme station est Azuga. Elle est situé dans la vallée de Prahova, au confluent avec la rivière Azuga, au pied de la montagne Baiului Monts Bucegi et à proximité des combles Sorica et Cazacu. Il est un centre touristique important. Elle a une forte tradition industrielle, l'usine de bière est un des plus célèbre de Roumanie.

Êtant situé au pied des montagnes Bucegi, Azuga est une station climatique et a la plus longue piste de ski de la Roumanie. Pour cette raison, mais en raison des investissements massifs dans l'infrastructure touristique qui a eu lieu dans la dernière période, Azuga a développé une des plus grandes stations de ski dans le pays.

La troisieme station Busteni est une petite station près de Sinaïa dans le departement de Prahova. Il a acquis au fil des années comme «la capitale roumaine de l'alpinisme' en raison du grand nombre de routes dans les montagnes alpines Bugegi et surtout parce que 'des populations de montagne' qui a le courage de lutter contre les massifs murs.

Bucegi peut vanter de la plupart des itinéraires alpins dans le pays - environ 280. Parmi ceux-ci on pevent rappelle: Urlatorii Grande Muraille, Claia Mare mur avec des fleurs, et la Grande Muraille Branei Costila. De là on peut accéder au plateau de Bucegi où il y a des formations de Babele.

La quatreieme station Sinaïa est une ville du departement de Prahova, dans la vallée de la Prahova, vallée dans laquelle se trouvent les stations les plus renommées pour le ski en hiver. Elle est souvent nommée la perle des Carpates pour les beautés naturelles qui l'entourent. L'altitude varie d'un bout à l'autre de la ville: 767 m au Printemps quartier, 798 mètres dans le domaine Gare, 845 m dans le quartier Parc-Dimitri Ghica, 860 mètres du monastère de Sinaia, à 970 m du chateau de Peles, 980 mètres de Tourelle. Ville fonctionne sous la forme d'un vaste amphithéatre, au pied des monts Bucegi.

Babele     Le sfinx

Le développement de la ville touristique de Sinaia a eu lieu depuis la deuxième moitié du dix-neuvième - siècle, avec la construction des routes Sinaia - Brasov (1847), les chemins de fer Bucarest - Sinaia (1879) et, en particulier, le Chateau de Peles. Dans la ville a été construit un grand nombre de résidences privées, situées dans des zones pittoresques et bénéficiant d'une architecture (intérieur et extérieur) des sangles. La monastere de Sinaia, fondée par Michael Cantacuzène, date de l'année 1695. Avec la levée du monastère, le règlement a commencé à se former, nom-preluand Sinaia.

Le Chateau de Pelisor

Le Chateau de Peles

Entre 1875 - 1883, est construit le chateau Peles, est devenu à ce moment-là, la résidence d'été de la famille de Carol I, premier roi de la Roumanie. En même temps, les touristes peuvent voir le Palais Pelisor qui se trouve juste à côté. Non loin de là, le mélomane pourra aussi aller visiter la villa Luminis de Georges Enesco. Sinaia accueille chaque année les manifestations traditionnelles telles que Festival de L’automne, le Festival International de Guitare Classique, Festival international des jeunes chefs d'orchestre, le Festival de L’automobiles Rallye de l'age.

Poursuivant votre route vers le sud, c'est-à Bucarest, vous pouvez faire un arrêt à Volcans Boueux près de Buzau. Réserve naturelle de type géologique qui a presque 30 ha., les Volcans Boueux se trouvent dans les Subcarpates de Courbure, a Berca, le département de Buzau, étant formés grace aux éruptions de gaz de la terre, qui entrainent vers la surface la boue et de l'eau.

Volcan de boue

Connus dans la région sous le nom de brouillards, les Volcans Boueux ont la męme structure comme les vrais volcans, en se produisant des processus similaires. Autrement dit il s'agit des volcans en miniature auxquels les cones ne dépassent pas 5 - 6 m de haut , et la profondeur d'oů la lave jaillit est beaucoup plus petite. Au-delà de ce premier site, plusieurs autres site au moins aussi actifs (mais non indiqués sur la signalétique routière locale) sont également accessibles en voiture (par des chemins non pavés).

Arriveés aux Volcans, on peut se réjouir du beau paysage comme les enfants, en courant d'un cratere l’autre, en glissant sur les plats de boue. En montant sur un cratére, on peurt écouter le bouillonnement de la profondeur ou on peut descendre les vallées creés par l'écoulement d'eau et de boue.

Le prochain objectif important est la capitale du pays, Bucarest. Bucarest est la capitale de la Roumanie. Elle est construite sur une boucle de la Dambovita dans le sud du pays. La ville, fondée en était alors la capitale de la Valachie. En 2003, la population de la ville est de 2 082 000 habitants, avec une aire urbaine de presque 2 500 000 habitants. Entre les deux guerres, la ville eut le surnom de 'Petit Paris'. Quelques batiments ont été construits par des architectes français (l'Athénée, le Palais, CEC). Selon la légende, le nom de la ville vient de Bucur, un berger qui s'est établi le premier sur l'emplacement actuel. Comme, en roumain, bucur signifie joie, de nombreux écrivains roumains surnomment Bucarest la ville de la joie.

L'histoire de Bucarest est plus ancienne que sa désignation comme capitale, qui date seulement du milieu du XIXe siècle. Selon la légende, elle fut fondée par un berger du nom de Bucur (qui signifie joie en roumain), même si historiquement la cité fut érigée au XIVe siècle par Mircea l'Ancien (Mircea cel Batran), après sa victoire sur les Turcs. Bucarest s'appelle d'abord 'la forteresse de Bucarest', en , quand elle est la résidence du prince de Valachie Vlad III l'Empaleur (Vlad Tepes). C'est alors que la vieille cour royale, Curtea Veche, est batie et, durant le règne de Radu II l'Élégant (Radu cel Frumos), Bucarest devient la résidence d'été de la cour.

En 1861, lors de l'union de la Valachie et de la Moldavie, Bucarest devient la capitale de la nouvelle principauté de Roumanie. Grace au nouveau statut de Bucarest, la population de la ville augmente considérablement dans la seconde partie du XIXe siècle et une nouvelle ère de développement urbain commence. L'architecture extravagante et la culture cosmopolite de cette période valent à Bucarest son surnom de Paris oriental ou de Petit Paris, Micul Paris, avec l'avenue de la Victoire comme Champs-Élysées. Mais la division sociale entre riches et pauvres, décrite en ce temps-là par Ferdinand Lassalle, fait de la ville un nid à tensions sociales.

Entre le 6 décembre 1916 et novembre 1918, la ville est occupée par les Allemands et la capitale est transférée à Iassy. Après la Première Guerre mondiale, Bucarest devient la capitale du royaume de la Grande Roumanie, qui inclut, entre autres, le retour de la Transylvanie. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Bucarest souffre beaucoup des bombardements anglo-américains (la Roumanie du général Antonescu est alors l'alliée de l'Allemagne nazie). En , un tremblement de terre d'intensité 7,4 sur l'échelle de Richter fait 1 500 victimes et détruit aussi beaucoup de vieux batiments. Malgré tout, certains quartiers historiques restent encore debout aujourd'hui.

Le long de l'histoire à Bucarest ont été plusieurs traités importants, tels que:

Traité du 28 mai 1812, à la fin de la guerre russo-turque de 1806-1812. La Moldavie perd la Bessarabie.

Traité du 3 mars 1886, à la fin de la guerre serbo-bulgare.

Traité du 10 août 1913, à la fin de la deuxième guerre balkanique.

Traité du 14-27 août 1916, le traité d'alliance entre la Roumanie et l'Entente (France, Angleterre, Russie et Italie).

Traité du 7 mai 1918, le traité entre la Roumanie et les puissances centrales, qui n'a jamais été ratifié.

À Bucarest on peut visiter de nombreux lieux de culte, des musées, des places des parcs et des jardins publics, des constructions historiques et des Églises. Par exemple:

Eglise des Saints-Apôtres ,Eglise Michel Voda , Monastère d'Antim , Église russe , Eglise Stravopoleos , Eglise Slobozia , Monastère de Radu Voda , Eglise Buna Vestire , Église de Bucur.

Curtea Veche, Hanul Manuc, Villa Monteoru ou Maison des écrivains, Palais Lens Vernescu Palais Cantacuzène , Palais Sutu, Palais Cretulescu, Palais de Mogosaia

Arc de Triomphe, Athénée roumain, Théatre National, Mémorial de la renaissance

Le Musée du Village roumain, Le Musée du Paysan roumain, Le Musée Zambaccian, Le Musée National d'Art, Le Musée militaire, Le Musée National d'Histoire, Le Musée National Cotroceni, Le Musée d'Histoire Naturelle Grigore Antipa, Le Musée Theodor Aman

Le Parc Cismigiu Le Parc Herastrau Le Parc Carol, Le Parc Tei, Le Parc Tineretului

La Place de la Révolution, Place de l'Union, Place Romaine, Place de la Victoire, Place de l'Université

L’Athénée Boulevard Unirii

Mais le plus célèbre lieu de Bucarest est de loin, Maison du Peuple. Il abrite la Chambre des députés et le Sénat roumains. Avec sa surface au sol de 350 000 mètres carrés, il est le second plus grand batiment du monde (après le Pentagone) et le plus grand de l'Europe. Le palais mesure 270 mètres sur 240 mètres, et a une hauteur de 86 mètres. Il contient 1 100 pièces réparties sur 12 étages, avec quatre niveaux supplémentaires en sous-sol actuellement accessibles et utilisés. Il en existe quatre autres encore plus ou moins achevés. Le palais est construit sur une colline connue sous le nom de Dealul Spirii, qui fut largement rasée pour le projet. Les travaux commencèrent en 1984.

La Maison du peuple Le palais du Parlement et le boulevard Unirii.

Parmi les personnes célèbres qui se sont fait connaitre ici rappeler:

  • Serban Ier Cantacuzino (1634 - 1688), prince de Valachie.
  • Ion Ghica (1816 - 1897), académicien, ingénieur, économiste, écrivain, diplomate, mathématicien, homme politique et pédagogue.
  • Nicolae Balcescu (1819 - 1852), historien, écrivain et révolutionnaire.
  • Theodor Aman (1831 - 1891), peintre et graveur.
  • Titu Maiorescu (1840 - 1917), critique littéraire et homme politique.
  • Grigore Antipa (1867 - 1944), naturaliste.
  • Nicolae Tonitza (1886 - 1940), peintre et graphiste.
  • Gheorghe Gheorghiu-Dej (1901 - 1965), président de la Roumanie.
  • Mircea Eliade (1907 - 1986), historien des religions, mythologue, philosophe et romancier.
  • Dinu Lipatti (1917 - 1950), pianiste.
  • Nicolae Ceausescu (1918 - 1989), homme d'État communiste.
  • Gheorghe Zamfir (1941), musicien.
  • Petre Roman (1946), homme politique.
  • Ilie Nastase (1946), joueur de tennis.
  • Corneliu Vadim Tudor (1949), homme politique.
  • Adrian Nastase (1950), homme politique.

Une fois que vous avez pu admirer la capitale du pays, vous pouvez continuer la route à l'ouest du pays. Vous venez ici dans une région différente du pays appelé l'Olténie. L'un des principaux objectifs est intéressant de tourisme de barrage de la Porte de Fer.

Elle constitue une partie de la frontière entre la Serbie et le sud-ouest de la Roumanie. À cet endroit, le fleuve sépare le sud des Carpates du nord des montagnes des Balkans. Le défilé a une longueur de 135 km; il débute à Bazias et s'achève à Turnu-Severin. La largeur du fleuve y varie de 2 km à moins de 150 m par endroits. Il faut distinguer trois parties dans cet ensemble :

  • Les portes supérieures (Gornja Klissura),
  • Les portes inférieures (Doljna Klissura) ou défilé de Kazan,

Entre les deux le fleuve s'élargit de façon importante.

Voici trois grandes villes Tirgu Jiu, Valcea et de Craiova

Targu Jiu est une ville,chef-lieu, de departement de Gorj. Sur son territoire se trouvait pendant la Seconde Guerre mondiale un camp de concentration où le futur président de la république roumaine Gheorghe Gheorghiu-Dej fut détenu. La ville est connu à cause de la célèbre scluptor Constantin Brancusi. Il était un sculpteur roumain, avec les contributions de renouvellement covarsitoare la langue et la vision plastique dans la sculpture contemporaine. Constantin Brancusi posthume a été élu membre de l'Académie roumaine. Brancusi étudia les arts à l'école des Arts et des Métiers de Craiova de à puis à l'école nationale des Beaux-Arts de Bucarest de à . Voulant compléter sa formation à Paris, il y arrive en et s'inscrit à l'École nationale supérieure des beaux-arts en .

Premiere fois, les sculptures de Brancusi se composait essentiellement de la représentation classique de la forme humaine. Après 1905, la vision de l'artiste est devenue plus claire et plus forte. Les plus connues de ses œuvres sont exposées à TG. Jiu la Colonne de l’Infini, La Porte du Baiser, La table du Silence. Brancusi a qualifié ces travaux en utilisant les mots suivants:

'Il y a des imbéciles qui définissent mon œuvre comme abstraite, pourtant ce qu'ils qualifient d'abstrait est ce qu'il y a de plus réaliste, ce qui est réel n'est pas l'apparence mais l'idée, l'essence des choses.'

La plus grande ville de Oltenei, Craïova, est la ville commerciale principale à l'ouest de Bucarest. Elle est la chef-lieu du departement de Dolj et elle est située pres de la berge gauche du Jiu (rivière) en Olténie centrale à une distance approximativement équivalente des Carpates méridionales et du Danube. Craiova occupe le site du castre romain de Pelendava Au Moyen Age les anciens bans, le titre (mot d'origine slave) le plus élevé de boyard de Valachie, étaient à l'origine issus de la famille Craiovesti. La ville est donc appelée la cité des 'bans', dont le plus fameux est Michel le Brave (en roumain Mihai Viteazul). Les bans avaient droit de battre monnaie portant leur propre effigie . Le mot est à l'origine du mot roumain emprunté aux langues slaves - ban, subdivision du Leu roumain et qui provient de ces pièces.

Fréquemment désigné sous le nom de 'cité' après la première moitié du XVIe siècle, la région de Craïova a été toujours considérée comme une région économique importante de Valachie et de la Roumanie dans son ensemble.

Pendant le soulèvement de Valaques de , les habitants de l'actuel departement de Dolj rejoignirent en grand nombre les Pandurs de Tudor Vladimirescu, contribuant à une marche révolutionnaire sur Bucarest. Costache Romanescu, un citoyen de Craiova, figurait parmi les chefs du gouvernement provisoire pendant la révolution des Valaques de . Les deux derniers souverains de Valachie, Gheorghe Bibescu et Barbu Dimitrie Stirbei, étaient issus d'une importante famille de boyards résidant à Craiova, la famille de Bibescu.

Parmi les endroits intéressants, que nous devrions voir entre eux sont:

Le parc Romanescu est très grand (90 hectares) et propice aux randonnées, avec son lac et son restaurant avec terrasse-débarcadère. La maquette de ce parc réalisée par l'architecte français Edgar Redont a obtenu le Grand Prix de l'exposition universelle de Paris en 1900. Il semble qu'il s'agisse du deuxième parc paysager en Europe de par sa surface en ville. La place centrale est située devant la Préfecture. Sur cette place, on peut admirer la statue de Michel le Brave et une fontaine lumineuse. La ville possède 2 cinémas : Patria, Modern.

Le Musée d'Art de Craiova possède plusieurs sculptures de Constantin Brancusi dont le Baiser et de nombreuses toiles de Theodor Pallady, peintre ami de Matisse. Il existe aussi un intéressant musée d'Ethnographie et un Musée historique.

Ensuite, il reviendra au nord, pour aller en Transylvanie, mais pas avant visite les stations la vallée de l'Olt. Il y existe de nombreux points d'attraction touristique. Les stations Calimanesti-Caciulata, Govora Baile Olanesti qui sont renomées pour l'eau minérale existente.

Aussi, dans le domaine, il existe de nombreux monastères en donnant à la région un air séparés et de faire un très attrayant, offrant des possibilités de passer des vacances avec la famille:

Cozia monastère, fondé Mircea l'Ancien, est une des plus importantes colonies de l'art médiéval et de l'architecture en Roumanie.

Govora deuxième monastère dates XV et a ensuite été restauré Matei Basarab.

 Monastère de Horezu (XVII siècle) est fondée par Constantin Brancovan et représente le groupe le plus important de l'architecture médiévale de Valachie: église, chapelle, la maison royale et trois ermitages.

Un monastère de bois (Francesti village) a été construit par Matei Basarab entre 1635 et 1636 et possède une riche collection d'icônes sur verre et objets religieux.

   

La monastère Govora

La monastère Hurezu

Un monastère de bois

L'ensemble de la zone de respirer un air de tranquilité et de la paix. Paysages avec urcusuri lent, de forêts verdoyantes, sources minérales, des monastères et même des villages complète cette paix, offrant un visiteur linistitoare et des vacances de détente.

Le Olanesti est situé dans le comté de Valcea, à 18 km de Rustenburg, dans une dépression intracolinara, sur les rives paraului Olanesti. La station a été connu depuis le XVIIIème siècle, pomenita de décrets en 1760 où ils écrivent sur les eaux minérales. La station est située à une altitude de 400-450 m. Le climat est doux et en raison du règlement, la station est entièrement défendu par vanturi. La température annuelle est de 9 degrés C.

Autres attractions sur la vallée de l'Olt :

  • La grotte muierii
  • Cave Polovraci
  • Memorial maison Anton Pann
  • Trésor folklorique de la poterie de Horezu et Monastère de Horezu

Fin du voyage vous emmène Olt Valley dans la ville de Sibiu. Sibiu a été désigné capitale européenne de la culture de 2007. La ville garde encore son ambiance médiévale et moderne à la fois. Sibiu est située dans la région historique de la Transylvanie, au coeur de la Roumanie.

Sibiu est le chef-lieu du departement de Sibiu. Elle est traversée par la petite rivière Cibin, affluent de la rivière Olt, elle-même tributaire du Danube.

Trois points nous paraissent devoir être relevés dans cette brève présentation.

Premièrement: le passé allemand de la ville. Fondée par des colons allemands au XIIe siècle, elle fut le centre culturel traditionnel des Saxons (ainsi qu’il est d’usage d’appeler les Allemands de Transylvanie) et demeura même exclusivement allemande jusqu’au milieu du XIXe siècle; ensuite, elle se roumanisa peu à peu, jusqu’à devenir à majorité roumaine dans les années 1930; aujourd'hui, en particulier après l’exode massif des Saxons vers l’Allemagne, pour motifs économiques, la ville est roumaine en très grande majorité (plus de 95 %). Cependant, le maire actuel, réélu avec 88,7 % des voix, Klaus Johannis, est d'origine allemande.

Deuxièmement: la bonne santé économique de la ville. Le taux de chômage y est relativement bas, et la ville a su attirer de nombreux investisseurs étrangers, surtout allemands et autrichiens. Sibiu est une plaque tournante logistique, vers où convergent les principales voies de communication de Transylvanie; de plus, la ville est desservie par un aéroport international (SBZ), avec des liaisons quotidiennes avec Bucarest, l'Italie, l'Autriche et l'Allemagne.

Troisièmement: le charme médiéval de son vieux centre historique. Préservée autant des ravages de la guerre que des plans d’urbanisme de l’ère Ceausescu, elle a conservé, de différentes époques (gothique, renaissance, baroque), nombre de monuments de l’architecture religieuse, civile et militaire, ainsi qu’une multitude de demeures anciennes. Sa désignation comme Capitale européenne de la culture pour l'an 2007, conjointement avec Luxembourg, a incité la municipalité à mener une campagne de restauration et d’embellissement de grande ampleur. Ses monuments, alliés à la richesse de ses musées (particulièrement la pinacothèque Brukenthal) et aux attraits de la région environnante, font de cette ville un centre touristique de premier ordre.

Dans l’ancienne Transylvanie saxonne, Sibiu était le chef-lieu de la chaire de Sibiu, la zone d’implantation la plus importante des Saxons transylvaniens. Cette chaire, la plus importante également quant à la superficie, s’étendait au sud jusqu’à la chaine des Carpates, et était limitée à l’est, au nord, et à l’ouest, respectivement par les chaires de Nocrich, de Medias et de Miercurea Sibiului. C’est ici que convergeaient les principales routes commerciales de Transylvanie, y compris celle vers le sud, en direction de la Valachie, par le défilé de la Tour rouge (pas Turnu Rosu). Cette localisation à un carrefour de voies de circulation, pour être bénéfique au développement de la ville, lui a cependant valu en même temps de subir de façon répétée au cours de son histoire de violents assauts.

Les premiers colons allemands atteignirent la région en 1143; ils s’établirent sur la colline dominant la rivière Cibin, l’actuelle ville haute. La première attestation d’une implantation humaine se trouve sur une charte de 1191, sous le nom de praepositum Cibiniensem; un prieuré fut fondé, et le nom latin de Villa Hermanni est attesté à partir de 1223. La ville fut purement allemande jusqu’à la première décennie du XVIIIe siècle. Ce n’est qu’après que la Transylvanie eut été rattachée à l’Autriche-Hongrie que les anciennes lois, selon lesquelles il était interdit à d’autres nationalités de s’établir dans la cité, furent abolies. Au XVIIIe siècle, Hermannstadt pouvait s’enorgueillir d’être, parmi les villes d’Europe raccordées au système postal, celle située le plus à l’est.

Une revue de langue allemande, la Hermannstädter Zeitung, parait chaque semaine. Il existe des écoles maternelles et primaires allemandes, ainsi qu’un lycée allemand (le lycée Brukenthal), qui jouit d’une excellente réputation dans tout le pays, et permet de préparer en allemand un baccalauréat qui est reconnu également par les universités d’Allemagne. Il y a aussi le Lycée pédagogique, centre de formation des futurs éducateurs et enseignants germanophones. L’allemand est langue d’enseignement dans quatre établissements d’enseignement supérieur et à l’université de la ville, certains cursus peuvent aussi être suivis en allemand. Y est implantée, par ailleurs, une faculté allemande de théologie évangélique, au sein de laquelle l’église évangélique C.A. (c'est-à-dire se réclamant de la confession d’Augsbourg) de Roumanie forme ses prêtres. Il convient de mentionner également une Académie de l’église évangélique C.A. à Neppendorf, une maison de retraite évangélique allemande (le Carl-Wolff-Altenheim), sans oublier une intense vie communautaire. Il existe aussi une maison d’édition privée (Hora Verlag), qui fait régulièrement paraitre de nouvelles publications en langue allemande, ainsi qu’une imprimerie moderne (la Honterus-Druckerei), qui est aux mains de la minorité allemande, et dont les productions sont d'un haut niveau de qualité.

Après l’exode de la majorité des Saxons transylvaniens, tous objets d’importance, que ce soient objets d’art, objets du culte, missels, registres, documents d’archives, etc., ont été transférés des communautés évangéliques dissoutes et des villages abandonnés vers les salles d’archives, dépôts et bibliothèques épiscopaux, et placés en lieu sûr. C’est aujourd’hui le Centre culturel et de rencontre Friedrich Teutsch qui abrite les archives centrales de la minorité allemande; celles-ci comprennent une riche collection d’objets et de documents historiques, composant un trésor d’une valeur inestimable, tenu à jour et archivé depuis des années.

« L'histoire et la culture des Allemands en Transylvanie constitue un pan de l'héritage européen commun qu'il convient de préserver et de transmettre, ici comme dans les pays où la Deuxième Guerre mondiale et ses conséquences ont mis fin à une présence allemande parfois séculaire. J'ai ces derniers temps beaucoup voyagé entre Tartu, en Estonie, l'ancienne Dorpat, et Timisoara en Roumanie. Il est beau de voir à quel point les jeunes démocraties de cette région considèrent l'héritage culturel des Saxons de Transylvanie comme le leur et tentent de le faire vivre, en dépit des difficultés économiques extrêmes. » — Discours prononcé par Günter Verheugen, Commissaire européen à l'élargissement, à l'occasion de la fête des Saxons de Transylvanie, en 2001, à Dinkelsbühl

La ville de Sibiu et ses environs sont assurément parmi les lieux les plus visités de toute la Roumanie. Elle est, à juste titre, considérée comme une des villes historiques les plus belles et les mieux préservées, non seulement de toute la Roumanie, mais aussi d’Europe. La vieille cité fortifiée de Hermannstadt fut épargnée par la Deuxième Guerre mondiale, et, miraculeusement, échappa aux malencontreuses interventions urbanistiques du régime de Ceausescu . Sibiu offre, sur une superficie totale ne dépassant pas les 80 hectares, une riche palette de monuments de l’architecture médiévale, Renaissance et baroque, et a su conserver l’esprit et l’atmosphère des siècles révolus. Le centre historique est depuis 2004 en instance de reconnaissance par l’UNESCO au titre de patrimoine mondial.

La ville basse .La cathédrale évangélique vue de la ville basse. La placette à l'avant-plan est la Place Coroana. Plus au loin, à gauche, entre les branchages de l'arbre, on distingue le bulbe de la tour du Conseil, à droite, celui de l'église catholique.La ville basse, qui correspond à la zone entre la rivière Cibin à l’ouest et le bord d’un plateau en contrehaut à l’est, s’est développée parallèlement avec la première enceinte fortifiée. Celle-ci, sacrifiée au développement industriel et à l’urbanisme moderne à la fin du XIXe siècle, n’a laissé dans la ville basse aucun vestige visible. Seules deux tours de fortification subsistent aujourd’hui, mais elles appartiennent à la quatrième enceinte (voir ci-dessous), et furent édifiées au milieu du XVIe siècle.

Cependant, la ville basse comprend 18 batiments ayant conservé des éléments médiévaux du XVe au XVIIe siècle ; ces batiments sont pour la plupart situés dans les rues du 9 Mai et d’Ocna.

La ville haute: La ville haute est depuis l’époque moderne le centre névralgique de Sibiu, et en concentre la plupart des monuments et de curiosités. Elle s’articule autour de ses trois places historiques; la Piata Huet (littéralement « la toute petite place », la plus ancienne), la Petite Place, et la Grande Place, d’ailleurs fort peu éloignées les unes des autres.

La Grande Place est, la plus vaste des places de la ville, et en est le point central depuis le XVIe siècle. Mesurant 142 mètres de long et 93 de large, elle est du reste une des plus grandes de toute la Transylvanie. À l’angle nord-ouest de la place se dresse le Palais Brukenthal, un des monuments baroques les plus importants de Roumanie. Érigé entre 1777 et 1787, il servit de résidence principale au gouverneur de Transylvanie, Samuel von Brukenthal. Actuellement, il héberge la majeure partie du fonds du musée national Brukenthal (fondé en 1817), le reste des collections étant dispersé sur plusieurs autres sites.

La Tour du Conseil a été mentionnée pour la première fois dans un document de 1370, cette tour blanche est un des monuments les plus connus de la ville, et un de ses symboles. On y entre par une petite porte, laquelle donne accès à un escalier en colimaçon permettant de gravir la tour jusqu’aux étages supérieurs ; ainsi peut-on, à l’avant-dernier étage, observer l’horloge et, au dernier étage, aménagé en salle panoramique, bénéficier d’une vue plongeante sur le centre historique.

La Grande Place Tour du Conseil, dans l'angle nord de la Grande Place

La Petite Place Pont des Mensonges

La Petite Place est, ainsi que son nom l’indique, de taille plus petite, et aussi de forme plus oblongue. Ce qui caractérise les maisons de la Petite Place sont les galeries voûtées du rez-de-chaussée, ouvertes vers la place et surmontées d’arcs plein-cintre. Sous ces voûtes étaient autrefois exposées les marchandises fabriquées par les artisans qui avaient dans ces maisons leur atelier.

Avant de déboucher dans la place, la rue passe sous le pont des Mensonges, le premier pont en Roumanie à avoir été construit en fonte, et lequel, selon la légende, devrait s’effondrer aussitôt qu’un menteur l’emprunterait. Le pont fut construit après qu’eut été démoli un groupe de maisons qui s’étendait presque jusqu’à la Tour du Conseil et après qu’eut été percée la voie d’accès carrossable venant de la Ville basse (après 1851). Le pont fut achevé en 1859 et inauguré en 1860.

Autre lieux en Sibiu sont :

  • Le musée national Brukenthal, lequel se compose des éléments suivants:

- la galerie d’art et la bibliothèque ;

- le musée d’Histoire ;

- le musée d’Histoire naturelle ;

- le musée de la Pharmacie ;

- le musée de la Chasse.

  • Le complexe muséal national ASTRA, lequel se compose des éléments suivants:

- le musée de la Civilisation populaire traditionnelle ;

- le musée d’Ethnographie universelle « Franz Binder » ;

- le musée de la Culture populaire saxonne « Emil Sigerus ».

  • Le musée des Locomotives à vapeur

Enfin, il y a d'importantes données de isoria ville:

  • 1292 : premier hôpital de la Roumanie actuelle
  • 1380 : première attestation d'une école en Roumanie actuelle
  • 1494 : on ouvre la première pharmacie de Roumanie
  • 1534 : premier moulin à papier de Roumanie
  • 1544 : premier livre en langue roumaine édité à Sibiu en 1544
  • 1817 : ouverture du musée Brukenthal, le premier de Roumanie actuelle
  • 1859 : premier pont en fer de la Roumanie actuelle
  • 1875 : première fabrique de voitures de Transylvanie
  • 1895 : ouverture du musée d'Histoire naturelle
  • 1896 : premières centrales électriques de la Roumanie actuelle
  • 1928 : ouverture du premier jardin zoologique de Roumanie
  • 1904 : Sibiu est la 2e ville d'Europe à introduire le tramway électrique
  • 1989 : Sibiu est la 2e ville de Roumanie à s'opposer au communisme
  • 2007 : Capitale européenne de la culture

Après la visite de Sibiu vous allez à Alba Iulia. Alba Iulia est une ville moyenne de Transylvanie, en plein centre de la Roumanie. C'est le chef-lieu du departement d’Alba.

Située non loin des Carpates, cette ville touristique est sans doute l'une des plus anciennes de Roumanie : vestiges datant du néolithique, ville importante sous et avant l'occupation romaine sous le nom de Apulum, un des premiers archevêchés fondé par Étienne Ier, roi de Hongrie au début du XIe siècle, sous le nom de Gyulafehérvár, puis ville de princes saxons au Moyen Age (sous le nom de Karlsburg).

La ville d'Alba Iulia a une grande importance symbolique pour les roumains, car c'est là que fut scellée la Premiere Unfication , par Michel le Brave en 1600 et quelques siècles plus tard « Grande Unification » de la Roumanie le 1er décembre . C'est donc ici que l'on célèbre chaque année la fête nationale.

Avant l'arrivée des romains dans l'actuelle ville , se trouvait la localité dace Apoulon qui était un important centre fortifié mentionné sur les cartes contemporaines. Après la conquête de la Dacie par Trajan, la ville a été appelée Apulum et la fortification dace pré-existante a été renforcée grace a la XIIeme Legion Gemina stationnée dans la ville. Les ruines du mur dace et de l'impressionnante porte sont très bien conservées et peuvent être visitées grace au ' Parcours des 3 Citées ' du quartier de la Cité (roum. Cetate ). A l'entrée de ce complexe archéologique, peuvent être vues les ruines de murs extérieurs tout comme une porte de la cité médiévale par laquelle est entrée Michel le Brave ( Mihai Viteazul ). Au Moyen Age , la ville s'appelait déjà Alba-Iulia alors que dans les documents écrits en langue slave son nom était Balgrad ( la ville Blanche ).

Le principal domaine est la ville historique de la Citadelle Alba Caroline. Les Habsburgs ont rebaptisé la ville en l'honneur de Karlsburg. Principalele nombre d'attractions touristiques qui sont situés à l'intérieur de la fortification sont La Cathédrale Reintregirii, Musée et Hall d’unification, Bibliothèque Batthyaneum, la cathédrale catholique romaine, la cellule de Horea, Closca et Crisan, le Palais Apor, Obeliscul, etc. Dans la crypte de la cathédrale enterré c’est l’évêque Márton Áron.

Une fois que vous quitter la Ville de la Grande Premiere Grande Union nous vous recommandons de visiter, en arrêtant dans votre route vers Deva. Elle est située au cœur de departement de Hunedoara.

Dominée par les ruines d’une citadelle médiévale à quelque 187 mètres au-dessus du fleuve, elle fut fondée par le roi dace Decebal. Centre militaire et résidence voïvodale dès le XIVe siècle, la ville et sa citadelle furent aprement disputées, notamment par les Autrichiens. Les habitants de Deva participeront à la grande guere populaire de 1784. Pendant la révolution de 1848-1849, la ville fut le théatre de sanglants combats.

La citadelle

Sur le feux des cannons autrichiens, le dépôt de munitions de la citadelle sauta, endommageant irrémédiablement les batiments fortifiés. Il faut découvrir le palais Magna Curia, construit au XVIe siècle en style Renaissance. Il est aujourd'hui le siège d'un riche musée. Il ne faut pas manquer la tour de la vieille église orthodoxe et de la cathédrale batie en 1861. Il faut enfin flaner sous les chênes de la forêt de Bejan, une remarquable réserve forestière.

Ici se trouve la plus importante école de gymnastique monde. Cette école a donné à l'ensemble du monde, la première gimnaste qui en a pris une note de 10 premières dans l'histoire des Jeux Olympiques.

Il s’agit de Nadia Comaneci. À 14 ans, Comaneci devient l'une des stars des jeux Olympiques d'été de 1976 à Montréal (Canada). Elle parvient en effet grace à son enchainement aux barres asymétriques à obtenir la note maximale de 10, devenant ainsi la première gymnaste à réaliser cette performance aux jeux Olympiques. Cette performance est imprévue, c'est pour cette raison que les scores des juges sont notés 1.0 au lieu de 10.0, car le tableaux des scores n'étaient pas définis pour marquer cette note de 10 . Au cours de ces jeux Olympiques, elle obtient à sept reprises cette note maximale, lui permettant de remporter la médaille d'or en gymnastique au concours général, aux barres asymétriques et à la poutre, la médaille d'argent au classement par équipes, et enfin la médaille de bronze aux exercices au sol .

Comaneci devient la première gymnaste de la Roumanie à remporter le titre aux classement général aux JO, elle est également la plus jeune gymnaste à remporter ce titre (record qui est aujourd'hui impossible à battre car à l'époque il était possible de se présenter aux JO à partir de ses 14 ans, aujourd'hui il est obligatoire d'avoir plus de 16 ans[]).

Après la courte escale à Deva voyager environ 200 km vous arriviez à Timisoara. Elle est une ville de l'ouest de la Roumanie, dans la région du Banat, departement de Timis, avec une population de 329 554 habitants en . Toutes les variantes de ce nom dérivent du nom de la rivière Timis, qui coule dans la proximité et dont les eaux arrivaient, dans un passé lointain, depuis les monts Semenic jusqu' à la ville. En fait c'est la Bega, canalisée depuis 1728 ,qui parcourt la localité. Ville industrielle avec des services extensifs, elle fut la première ville européenne à être éclairée à l'électricité, en 1884, et l'une des premières villes à être dotée d'un tramway électrique (en 1899).

Timisoara est une ville multiculturelle avec des minorités influentes, essentiellement des Allemands, des Hongrois, des Serbes et des Rroms mais aussi des Italiens, des Arabes et des Grecs ou encore des Tchèques et des Slovaques. C'est la ville de naissance de Johnny Weissmuller (champion olympique de natation de nationalité américaine, connu pour son interprétation de Tarzan). Timisoara a aussi été visitée par Gustave Eiffel . Il y a aussi construit un pont piétonnier sur la rivière Bega.

Souvent qualifiée de Petite Vienne, la ville est aussi surnommée la Cité des roses en raison de ses nombreux parcs et jardins et de sa roseraie, créée en 1928, qui maintient près de 600 variétés de roses.

En 1019 Timisoara (sous les noms divers de Dibiscos, Bisiskos, Tibiskos, Tibiskon, Timbisko, etc.) est mentionnée pour la première fois dans des documents écrits par l'empereur byzantin Basile II (tous les historiens ne s'accordent pas sur cette identification). 1552 marque le début de l'occupation ottomane qui prit fin en 1716 avec le succès du siège mené par le prince Eugène de Savoie.

Toutefois, Timisoara est restée dans la mémoire des Roumains en raison de la plupart des dernières événements historiques: L'insurrection de 1989.

Le 16 décembre , une insurrection populaire commença à Timisoara contre le régime communiste de Nicolae Ceausescu. La ville fut ainsi la première à se rebeller contre le pouvoir. Un ordre de déportation du pasteur calviniste hongrois László Tökés fut donné à la police secrète, la Securitate, et en réaction sa maison fut cernée par des membres de son église. Les personnes qui le soutenaient se rassemblèrent sur la place de l'Opéra (actuelle place Victoriei), la place centrale de la ville. L'armée reçut l'ordre d'ouvrir le feu sur les manifestants, mais certains officiers refusèrent d'appliquer cet ordre, et se rangèrent du côté des manifestants. C'était le début de la fin de l'ancien régime, qui tomba la semaine suivante. Le 20 décembre, après 4 jours d'insurrection, Timisoara est déclarée première ville libre de Roumanie.

Dernier lieu de culte qui vous proposer est la viile de Sapanta située au de Maramures. Il s'agit d'un célèbre cimetière appelé Le Cimetière joyeux. Il attire les touristes par son originalité : des pierres tombales colorées, avec un dessin représentant une scène de la vie ou une occupation de la personne inhumée, accompagné d'un poème humoristique décrivant la personne.

Ce cimetière est différent car les Roumains considèrent la mort comme un moment très solennel. On associe ce cimetière à la culture des Daces dont la philosophie se basait sur l'immortalité et qui considéraient la mort comme un moment de joie car la personne arrivait dans une vie meilleure.

Tout a commencé en 1934 quand un artiste local, le poète Stan Ioan Patras, a demandé que sa future sépulture soit décoré dans des couleurs vives, dans du bois de chêne. Aujourd'hui, c'est un cimetière très visité.

Sans prétendre que nous avons approché exhautivement le sujet, nous espérons que nous avons soulevé l'intérêt de visiter au moins des beautes du pays. Si vous avez des suggestions, des propositions, ou vous pouvez envoyer des photos ou votre point de vue intéressant sur d'autres lieux visités, que nous n'avons pas inclus ici, s’il vous plait n'hésitez pas et allez directement à notre site www.voyage.ro. Nous vous remercions!





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